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Madame de Sévigné, l'inspiration du festival de la correspondance de Grignan
La 20e édition du festival de la correspondance de Grignan se poursuit jusqu'au 5 juillet 2015. Un événement unique dédié à l'art épistolaire, inspiré par une personnalité, Madame de Sévigné (1626-1696). Elle vécut et mourut dans ce village de la Drôme. Le festival a été créé à l'occasion du tricentenaire de sa mort en 1996.
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Temps de lecture : 1min
Reportage : S. Adam / P. Lachaux / A. Gavin
Dans le petit village de Grignan, Madame de Sévigné est partout... dans les musées, les magasins, les rues. Depuis le XVIIIe siècle, les touristes se pressent dans ce très joli écrin de la Drôme pour se remémorer le parcours de celle qui fit de sa correspondance un art littéraire. C'est en fait sa petite-fille qui décida, après la mort de Madame de Sévigné en 1696, de publier ses lettres, et en particulier la très riche correspondance qu'elle a entretenue avec sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de Grignan. Mère et fille avaient une relation très forte et c'est quand la comtesse de Grignan quitta Paris pour la Provence que leur correspondance débuta. Elle dura environ 25 ans, au rythme de 2 ou 3 lettres par semaine.
Dans le petit village de Grignan, Madame de Sévigné est partout... dans les musées, les magasins, les rues. Depuis le XVIIIe siècle, les touristes se pressent dans ce très joli écrin de la Drôme pour se remémorer le parcours de celle qui fit de sa correspondance un art littéraire. C'est en fait sa petite-fille qui décida, après la mort de Madame de Sévigné en 1696, de publier ses lettres, et en particulier la très riche correspondance qu'elle a entretenue avec sa fille, Françoise-Marguerite de Sévigné, comtesse de Grignan. Mère et fille avaient une relation très forte et c'est quand la comtesse de Grignan quitta Paris pour la Provence que leur correspondance débuta. Elle dura environ 25 ans, au rythme de 2 ou 3 lettres par semaine.
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