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Sandrine Bonnaire : "Le cinéma m'a construite et m'a donné beaucoup de sérénité"
Après 24 ans d’absence, Sandrine Bonnaire revient sur scène le 25 mars 2014 au Théâtre de l’Atelier avec "l’Aide-mémoire", une pièce de Jean-Claude Carrière.
A cette occasion l’actrice, invitée du journal de France 2, revient sur les grands moments de sa carrière.
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Sandrine Bonnaire invitée du journal de 20 h de Laurent Delahousse.
Lumineuse, le regard pétillant, elle a su garder cette simplicité qu’arborent les plus grands.
César du meilleur espoir à l’âge de 16 ans pour "Nos Amours" de Maurice Pialat, elle obtient 2 ans plus tard, en 1986, le César de la meilleure actrice avec "Sans toit ni loi", d’Agnès Varda, sans oublier la Palme d’Or 1987 pour "Sous le soleil de Satan" de Maurice Pialat.
Fan de Brigitte Bardot et Lino Ventura, elle avoue être entrée au cinéma par hasard, "sans véritable culture cinématographique". Elle dit tout devoir à Maurice Pialat, réalisateur "tyrannique", paternel qui l’a découverte.
« Le cinéma m’a construite »
Femme discrète et pudique, c’est dans un documentaire qu’elle évoquera une page difficile de sa vie à travers le portrait de sa sœur autiste. Issue d’une fratrie de 11 enfants, c’est elle qui les prendra en charge à la mort de son père.
Le cinéma, exorciseur des douleurs les plus profondes ? Peut être « Le cinéma m’a construite et donné beaucoup de sérénité, on dit qu’il fragilise, pour moi c’est tout le contraire ».
Elle a tourné avec les plus grands, de Pialat à Leconte et plus récemment avec Claude Lelouche pour son prochain film "Salaud on t’aime" où elle sera entourée d’Eddy Mitchell et Johnny Hallyday. Le film sortira en Avril.
Sandrine Bonnaire fera son retour sur les planches le 25 Mars 2014 au théâtre de l’Atelier. Elle partagera avec Pascal Greggory l’affiche de « l’Aide-mémoire », la rencontre entre un homme maniaque et une femme mystérieuse, pièce écrite par Jean-Claude Carrière.
Lumineuse, le regard pétillant, elle a su garder cette simplicité qu’arborent les plus grands.
César du meilleur espoir à l’âge de 16 ans pour "Nos Amours" de Maurice Pialat, elle obtient 2 ans plus tard, en 1986, le César de la meilleure actrice avec "Sans toit ni loi", d’Agnès Varda, sans oublier la Palme d’Or 1987 pour "Sous le soleil de Satan" de Maurice Pialat.
Fan de Brigitte Bardot et Lino Ventura, elle avoue être entrée au cinéma par hasard, "sans véritable culture cinématographique". Elle dit tout devoir à Maurice Pialat, réalisateur "tyrannique", paternel qui l’a découverte.
« Le cinéma m’a construite »
Femme discrète et pudique, c’est dans un documentaire qu’elle évoquera une page difficile de sa vie à travers le portrait de sa sœur autiste. Issue d’une fratrie de 11 enfants, c’est elle qui les prendra en charge à la mort de son père.
Le cinéma, exorciseur des douleurs les plus profondes ? Peut être « Le cinéma m’a construite et donné beaucoup de sérénité, on dit qu’il fragilise, pour moi c’est tout le contraire ».
Elle a tourné avec les plus grands, de Pialat à Leconte et plus récemment avec Claude Lelouche pour son prochain film "Salaud on t’aime" où elle sera entourée d’Eddy Mitchell et Johnny Hallyday. Le film sortira en Avril.
Sandrine Bonnaire fera son retour sur les planches le 25 Mars 2014 au théâtre de l’Atelier. Elle partagera avec Pascal Greggory l’affiche de « l’Aide-mémoire », la rencontre entre un homme maniaque et une femme mystérieuse, pièce écrite par Jean-Claude Carrière.
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