Pour célébrer le fils de Shiva, des milliers d'hindouistes tamouls s'infligent chaque année d'atroces souffrances lors d'une procession en Malaisie.
Pour célébrer le fils de Shiva, des milliers d'hindouistes tamouls s'infligent chaque année d'atroces souffrances lors d'une procession en Malaisie.
C'est une des fêtes les plus impressionnante au monde avec le rituel chiite de l'Achoura. (CHRIS MCGRATH / GETTY IMAGES)Chaque année, la communauté tamoule hindouiste, principalement en Malaisie et à Singapour, célèbre Thaipusam. (LAI SENG SIN / AP / SIPA)Cette fête hindoue se déroule lors de la pleine lune du mois Tai (mi-janvier à mi-février) selon le calendrier tamoul. (LAI SENG SIN / AP / SIPA)Elle commémore le dieu Murugan, le plus jeune fils de Shiva. (LAI SENG SIN / AP / SIPA)En Malaisie, le temple des grottes de Batu près de la capitale Kuala Lumpur accueille pour l'occasion plus d'un million et demi de fidèles venus célébrer Thaipusam. (LAI SENG SIN / AP / SIPA)La procession de 15 km de Kuala Lumpur aux grottes de Batu prend environ 8 heures sous une chaleur accablante. (LAI SENG SIN / AP / SIPA)Ces grottes sont le plus grand sanctuaire hindou non situé en Inde. Depuis 2006, on y trouve la plus haute statue (42,7 mètres) de Murugan au monde. (NEWSCOM / SIPA)Deux jours avant la procession, les fidèles se lavent et certains se rasent la tête. (EDGAR SU / REUTERS)Pendant la longue procession, les fidèles pratiquent divers actes de dévotion. (EDGAR SU / REUTERS)Le moins pénible est de porter un pot rempli de lait. (SAEED KHAN / AFP)D'autres s'offrent à leur dieu Murugan en s'infligeant des souffrances dans leur chair. (CHRIS MCGRATH / GETTY IMAGES)Toutefois, il est interdit de faire couler le sang car les fidèles pensent que ceux qui saignent sont ceux qui ne croient pas assez. (ROSLAN RAHMAN / AFP)
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Parmi les souffrances infligées les plus courantes, les fidèles se transpercent les joues et la langue avec des broches. (SIVARAM V / REUTERS)
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Ils se plantent également des dizaines de crochets dans le dos et transportent des poids attachés à ces crochets sur des kilomètres. (NEWSCOM / SIPA)On dit que lorsqu'ils arrivent aux grottes, les fidèles sont dans un tel état de transe qu'ils ne sont plus mentalement présents et ressemblent à des déments totalement possédés. (NEWSCOM / SIPA)
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