: Vidéo A quoi ressemblait la vie de Khaby Lame avant Tik-Tok ?
Star des réseaux-sociaux sans dire un mot, Khaby Lame n’a pas toujours eu une vie facile. Maçon, plongeur, serveur, laveur de vitres… Il a effectué de nombreux métiers différents afin de trouver sa voie. Pour Brut, le tiktokeur le plus suivi au monde revient sur son parcours difficile.
Né au Sénégal, il a grandi dans un HLM de Via Togliatti en Italie. Avant de devenir le tik-tokeur le plus suivi au monde, le jeune garçon faisait des vidéos avec ses amis qu’il publiait sur Youtube. “Quand j'étais petit, j'ai fait plein de vidéos avec mes amis. Même si on ne me regardait pas toujours, j'aimais faire ça.” C’est lors du confinement que Khaby Lamé découvre le réseau-social Tik-Tok. Il y parodie des personnes qui effectuent des actions simples de manière compliquée, et connaît rapidement un vrai succès.
“Pendant la journée, j'étais maçon. Le soir, serveur-plongeur”
“Les moments difficiles ont été nombreux. Si je devais les raconter ici, il me faudrait dix interviews.” Bien qu’il soit une vraie star des réseaux-sociaux, le parcours de Khaby Lame n’a pas toujours été si facile. Avant de devenir le Tik-Tokeur le plus suivi du réseau-social, le jeune garçon a effectué de nombreux métiers différents. “J'ai eu plein de métiers. J'ai été maçon, plongeur, serveur, mécanicien... J'ai fait du contrôle numérique, laveur de vitres... Du travail, un peu fatigant." Avant le confinement, le créateur de contenu cumulait même deux emplois différents. “Pendant la journée, j'étais maçon. Le soir, serveur-plongeur. J’ai fait ça pendant deux ans, c’était difficile”.
Malgré les épreuves rencontrées au cours de sa vie, Khaby Lame connaît un grand succès et est fier de son parcours. Et pour l’artiste, les clics et le nombre de vues ne semblent pas avoir d’importance. “Franchement, je ne fais jamais attention aux chiffres. Ça ne m'intéresse pas. Je suis content, mais suivre les classements ne m'intéresse pas. Être premier, deuxième, troisième, ça ne m'intéresse pas. Je ferais des vidéos même si je n'étais personne. Comme je l'ai toujours fait sur YouTube.” Aujourd’hui, il conseille de “ne pas s'arrêter dès le premier obstacle venu”, et souhaite “le meilleur à tout le monde”.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.