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Vidéo Pour sensibiliser à la condition des oiseaux sauvages, ils les relâchent avec du public

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Dans les Cévennes, l'Hôpital de la faune sauvage sauve les animaux blessés. Pour sensibiliser à leur bien-être, ils relâchent les oiseaux soignés en présence de public. Brut était présent à l’un de ces événements.
VIDEO. Pour sensibiliser à la condition des oiseaux sauvages, ils les relâchent avec du public Dans les Cévennes, l'Hôpital de la faune sauvage sauve les animaux blessés. Pour sensibiliser à leur bien-être, ils relâchent les oiseaux soignés en présence de public. Brut était présent à l’un de ces événements. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Dans les Cévennes, l'Hôpital de la faune sauvage sauve les animaux blessés. Pour sensibiliser à leur bien-être, ils relâchent les oiseaux soignés en présence de public. Brut était présent à l’un de ces événements.

“C’est un jour très important, c’est l’aboutissement, du coup, de tout notre travail et donc toute l’équipe est contente et les oiseaux aussi. C’est le plus beau moment, en fait.” Lou est vétérinaire. À l'Hôpital de la faune sauvage, dans les Cévennes, elle travaille avec Marie-Pierre, et d’autres bénévoles. Ils s’occupent des animaux sauvages blessés. Ils travaillent également à la prévention du bien-être des animaux et de la faune sauvage. Ils tiennent notamment à les relâcher en présence d’un public, pour sensibiliser le plus grand monde. 

“On a des jeunes, quand ils arrivent, ils n’ont jamais touché une bête”

Elle essaye au maximum de relâcher les oiseaux soignés avec d’autres personnes, notamment des enfants. “On essaye, parce que qu’est-ce que ce serait triste… Imagine que je relâche toute seule. C’est super important. Et c’est augmenter le cercle de poètes, de protecteurs éveillés, connaissants, sensibles et surtout agissants”, pense-t-elle. “On a des jeunes, quand ils arrivent, ils n’ont jamais touché une bête, jamais soigné un animal. Et en fait, après, on apprend et on devient addict.”

“Il faut leur faire comprendre que la nature, c’est leur seule maison. Là, on ramène les animaux dans leur maison. Ça se partage. C’est vraiment vital pour moi que ces enfants comprennent qu’on est dans un monde ‘one health’, une seule santé, une seule terre, ‘one earth’, une seule richesse ‘to share and enrich’, d’enrichir et de partager”, ajoute Marie-Pierre.

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