Social : les salariés de Vivarte s'inquiètent pour leurs emplois
Une délégation de syndicats a été reçue ce jeudi 5 janvier à Bercy. Les salariés du géant de l'habillement Vivarte s'inquiètent d'un possible démantèlement du groupe.
Ce sont des salariés inquiets qui sont venus demander le soutien de l'État, ce jeudi 5 janvier, à Bercy. Ceux du groupe Vivarte, un géant de l'habillement, qui possède notamment les marques Kookaï ou André. Mais après deux heures d'entretien, c'est la déception. "Le ministère partage nos constats, mais n'a pas réellement de levier pour nous aider dans nos actions", déclare Gérald Gauthier, du syndicat FO Vivarte.
L'inquiétude prime
Le groupe Vivarte compte près de 15 000 salariés. Pour les employés rassemblés plus tôt dans la journée, c'est l'inquiétude qui prime. Le groupe devrait communiquer dans les prochains jours sur l'avenir de ses différentes filiales, dont la marque de chaussures André, menacée de vente. Les syndicats, de leur côté, ont d'ores et déjà annoncé différentes actions de blocages au premier jour des soldes.
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