Alstom, associé au canadien Bombardier pourrait signer un mégacontrat de trois milliards d'euros avec la SNCF, quelques semaines après la grave crise de Belfort.
Cela pourrait signifier une embellie pour Alstom, quelques semaines après les menaces de fermeture de l'usine de Belfort : un contrat de trois milliards d'euros en partenariat avec le Canadien Bombardier pour le compte de la SNCF. Jean-Baptsite Marteau en direct du siège d'Alstom l'assure, ce choix est politique : "quelques semaines seulement après la polémique d'Alstom à Belfort il ne fallait pas ouvrir un nouveau front".
3 200 emplois en jeu
En effet, le journaliste de France 2 rappelle qu'il y avait "3 200 emplois en jeu entre le site d'Alstom à Valenciennes (Nord) et celui de Bombardier à Crespin, deux usines distantes de seulement quelques kilomètres. Même si le concurrent espagnol d'Alstom était moins cher on a privilégié l'emploi français à six mois de la présidentielle (...) on attend que cet énorme contrat soit officiellement signé", conclut le journaliste.
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