Logement : pourquoi de plus en plus de personnes font le choix des tiny houses ?
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À mi-chemin entre une roulotte et un chalet, posée sur sa remorque, c’est une tiny house, une mini-maison. C’est la nouvelle résidence principale de Pauline Icart. À 34 ans, elle a quitté sa maison de 140m² dans le Gers pour un 22m² tout compris : séjour, couchage, cuisine, salle de bain... Un choix de vie d’abord économique. "Ça fait 2,3 ans que je restreins tout, que je travaille et que je ne peux pas profiter du fruit de mon travail", a-t-elle expliqué. Tous les équipements ont été réalisés sur-mesure, selon ses goûts, pour un prix total de 60 000 euros.
Un délai actuel de quatre à six mois
Sa mini-maison a été fabriquée à quelques kilomètres de là, au cœur des Pyrénées. Le fabricant enchaîne les commandes, avec un délai d’attente actuel de quatre à six mois, en majorité pour des clients qui en font leur résidence principale. Pas de béton ni de plâtre mais du bois. L’empreinte carbone de ce logement est deux fois moins élevée que pour une maison classique. Elle intéresse également de plus en plus de communes, notamment celles où le prix de l’immobilier a explosé.
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