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Vidéo Selon Nicolas Brusson, Blablacar compte près de 20 000 points de rendez-vous en France.

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Invité de Jean-Paul Chapel dans ":L'éco", Nicolas Brusson, directeur général de Blablacar développe les raisons de la forte utilisation de la société de covoiturage cet été.
Selon Nicolas Brusson, Blablacar compte près de 20 000 points de rendez-vous en France. Invité de Jean-Paul Chapel dans ":L'éco", Nicolas Brusson, directeur général de Blablacar développe les raisons de la forte utilisation de la société de covoiturage cet été. (franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - Marie Valantin
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Invité de Jean-paul Chapel dans ":L'éco", Nicolas Brusson, directeur général de Blablacar développe les raisons de la forte utilisation de la société de covoiturage cet été. 

"On a eu 4,6 millions de voyageurs en France cet été" déclare Nicolas Brusson, invité de Jean-Paul Chapel dans ":L'éco". La raison de cette explosion ? "Le développement du covoiturage dans les régions" explique le directeur général de Blablacar. Avec la création d'un nouvel agorithme qui permet aux conducteurs de faire des petits détours, la société compte aujourd'hui près de 20 000 points de rendez-vous en France. "C'est en multipliant ces points de rendez-vous que l'on crée un réseau super-granulaire" explique t-il. 

La question de l'AFP: "Avez-vous conservé les nouveaux voyageurs gagnés pendant les grèves au printemps dernier ?" Nicolas Brusson a répondu: "Pleins de gens ont découvert pour la première fois le covoiturage en tant que passager ou en tant que conducteur. Il y a toujours cet effet boule de neige". Blablacar a commandé un sondage pour savoir ce qu'il se passait dans les voitures. 21% des passagers avouent qu'ils révèlent des secrets : "Il y a une alchimie humaine dans la voiture qui fait qu'on se sent assez confortable pour parler. Et je pense que le fait d'être dans une voiture, qu'on ne soit pas face à face, et qu'il n'y ait pas le regard de l'autre, cela permet de se désinhiber, un peu comme chez le psy."

L'interview s'est terminée en chanson avec "Lisztomania" de Phoenix.

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