Venus de toute la France, ils étaient environ 8 000 à la mi-journée à manifester à Paris, autour des Champs-Elysées, mais aussi à Saint-Lazare ou près de la place de la République.
La quatrième grande journée de mobilisation des "gilets jaunes" a été placée sous très haute sécurité dans la capitale, samedi 8 décembre, avec plusieurs dizaines de stations de métro fermées et des blindés déployés. Les manifestants se sont rendus aux Champs-Elysées, mais aussi autour de la gare Saint-Lazare, où s'étaient donnés rendez-vous les participants à la Marche pour le climat qui partait à 14 heures de la place de la Nation.
Après une matinée relativement calme, les points de tension se sont soudainement multipliés. La police a tiré des grenades lacrymogènes aux abords des Champs-Elysées, le Drugstore de Publicis de l'avenue a été attaqué, et des vitrines brisées avenue de Friedland. On dénombre aussi plusieurs blessés après des tirs de Flash-Ball. Récit en images.
Un manifestant tend une rose aux forces de police stationnées devant l'Arc de Triomphe. (ALAIN JOCARD / AFP)Dès la nuit, des blindés prennent position à proximité de l'Arc de triomphe. (MUSTAFA YALCIN / ANADOLU AGENCY/AFP)Une policière casquée se tient près des Champs-Elysées. (ZAKARIA ABDELKAFI / AFP)Les gilets des "Gilets jaunes" se sont transformés en banderoles et porte-étendards. Ici : démissionne Macron, tu fas chier, rends les clés de l'Elysée, tu n'es pas de taille pour gouverner". (ZAKARIA ABDELKAFI / AFP)Les premiers gaz lacrymogènes sont tirés près des Champs-Elysées après un mouvement de foule sur une artère adjacente. (LUCAS BARIOULET / AFP)A Marseille, ce manifestant brandit une pancarte "Macron, nourris ton peuple". (BORIS HORVAT / AFP)"Nous aussi, on veut payer l'ISF" proclame cette banderole brandie devant l'Arc de triomphe. (SAMEER AL-DOUMY / AFP)Les forces de l'ordre protègent la préfecture de Charleville-Mézières. (FRANCOIS NASCIMBENI / AFP)Un blindé à proximité d'un feu allumé près des Champs-Elysées le 8 décembre 2018. (THOMAS SAMSON / AFP)Des manifestants des Gilets jaunes se tiennent près d'un feu allumé sur les Champs Elysées samedi 8 décembre à Paris. (THOMAS SAMSON / AFP)"Liberté, égalité, fraternité ?" s'interroge ce graffiti, tandis qu'on aperçoit, sur une première avenue, des forces de l'ordre et, sur la seconde, des "gilets jaunes", à proximité des Champs Elysées. (THOMAS SAMSON / AFP)Des manifestants en gilets jaunes s'étendent sur les Champs Elysées, le drapeau français posé sur eux. (CHRISTIAN HARTMANN / X90079)Un manifestant en gilet jaune portant un drapeau tricolore marche dans la fumée des gaz lacrymogènes sur l'Avenue des champs-Elysées. (CHRISTIAN HARTMANN / X90079)La police montée s'avance dans le 3e arrondissement parisien, alors que des heurts ont eu lieu à proximité, pendant la manifestation des Gilets Jaunes. (STEPHANE MAHE / REUTERS)Un sapeur-pompier de Paris éteind un incendie de voiture en marge des manifestations des "gilets jaunes". (LUCAS BARIOULET / AFP)De violents heurts ont eu lieu dans rues de la capitale, près des Champs-Elysées. Les forces de l'ordre ont utilisé des grenades de désencerclement pour repousser des manifestants. (THOMAS SAMSON / AFP)Un canon à eau de la police éloigne des manifestants près de l'Arc de triomphe, à Paris. (LUCAS BARIOULET / AFP)Deux "gilets jaunes" sur les Champs-Elysées, à Paris. Ils étaient plusieurs milliers tout au long de la journée. (ZAKARIA ABDELKAFI / AFP)Des "gilets jaunes" à Mondeville (Calvados), près de Caen, au milieu des gaz lacrymogènes. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)Des pavés près des véhicules blindés de la gendarmerie dans le quartier des Champs-Elysées, à Paris. (ZAKARIA ABDELKAFI / AFP)Une voiture incendiée, avenue Marceau, entre les 8e et 16e arrondissements à Paris, le 8 décembre 2018. (MAXPPP)Des gendarmes tentent de contenir des "gilets jaunes" à Toulouse ( Haute-Garonne), où des heurts ont éclaté. (REMY GABALDA / AFP)
:quality(50)/2023/07/05/64a55fd777de4_placeholder-36b69ec8.png)
:quality(50)/2018/12/08/phpIwrhfW.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpAme1Zi.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phphZgjHW.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpzCfwuh.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpJQvcQg.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpmmTlMp.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpXwEPQK.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpCNxFlO.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpPffdgn.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpI24N64.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phps6ubqS.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpK9zajR.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpYhow94.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpA1QyiF.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpsh7esl.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpIOHB4Y.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/php0QkQcm.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpUGu0Q2.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpnzW0zl.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpnaN87w.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpg0iMyo.jpg)
:quality(50)/2018/12/08/phpQBdTlx.jpg)
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.