Hérault : trois clandestins, 420 kilos de cannabis et des contrefaçons découverts dans un fourgon arrivant du Maroc
Les douanes rapportent, jeudi, avoir arrêté trois clandestins, saisi 420 kilos de résine de cannabis et 295 objets de contrefaçon à bord d'un fourgon en provenance de Nador, au Maroc.
Les douaniers de Sète, dans l'Hérault, ont saisi, dimanche 11 juin, 420 kilos de résine de cannabis, 295 objets de contrefaçon et trois jeunes clandestins dans un fourgon descendant d'un ferry en provenance de Nador, au Maroc, ont rapporté les douanes dans un communiqué, jeudi 15 juin.
A #Sète nos collègues découvrent 420 kg de cannabis et des contrefaçons sous un chargement de sucre ➡️https://t.co/zuxGlzRhiK pic.twitter.com/7XR4o1IYZB
— Douane Française (@douane_france) 15 juin 2017
Les deux personnes à bord du véhicule ont d'abord déclaré transporter diverses marchandises, tel que des meubles et des produits alimentaires. Pourtant, l'ouverture des sacs présents sur le toit du véhicule a permis "la découverte de plusieurs vêtements et chaussures qui s'avèrent être des contrefaçons", ont expliqué les douanes.
Cette trouvaille a décidé les douaniers à poursuivre leurs investigations sur le fourgon. Cette intuition leur a permis de découvrir "de nombreuses plaquettes de cannabis à l’intérieur d’une banquette transportée sur le toit du véhicule", est-il relaté dans le communiqué.
Des clandestins derrière des paquets de sucre
Poursuivant leur inspection, les douaniers ont constaté "la présence de trois jeunes clandestins dissimulés sous une table et derrière plusieurs centaines de paquets de sucre. L'un d'entre eux était inconscient", a décrit la douane dans son communiqué.
Les chiens renifleurs ont également permis de découvrir de nouvelles plaquettes de résine de cannabis, cachées sous des pastèques et des paquets de sucre. La valeur de la drogue est estimée à 3,1 millions d'euros, selon la douane. Le conducteur et le passager du véhicule ont été remis au service régional de la police judiciaire (SRPJ) de Montpellier.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.