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Vidéo Les bœuf-carottes se mettent à table

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Policiers radicalisés, violences policières ou "ripoux" : c’est l’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, qui mène les investigations. Comment la police peut-elle enquêter sur ses propres actions ? "Complément d'enquête" a mis les "bœuf-carottes" sur le grill.

Mickaël Harpon, informaticien habilité Secret Défense, a poignardé à mort quatre de ses collègues de la préfecture de Paris. Fragile psychologiquement, il aurait montré des signes de radicalisation au bureau. La police hébergeait-elle un terroriste en son cœur ?

Que s'est-il passé ? Y a-t-il un problème de contrôle, ou de leadership, dans nos services de sécurité ?Les dispositifs de sécurité étaient-ils pertinents ? Y a-t-il eu des dysfonctionnements ? Le 10 octobre 2019, "Complément d’enquête" se pose une question : qui contrôle la police ? 

Quelle indépendance ?

Policiers radicalisés, violences policières ou "ripoux" : c’est l’Inspection générale de la police nationale, la police des polices, qui mène les investigations. "Complément d'enquête" a mis les "bœuf-carottes" sur le grill. Ils assurent être indépendants, mais comment la police peut-elle enquêter sur ses propres actions ? L’IGPN reçoit-elle des consignes, subit-elle des pressions ?

Un reportage de Louis Milano-Dupont diffusé dans "Complément d'enquête" le 10 octobre 2019.

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