Procès de l'attentat de Nice : de nombreuses zones d’ombre à lever
Le procès des attentats de Nice a débuté lundi 5 septembre à Paris. Éric Pelletier était en direct du palais de justice, afin de parler des zones d’ombre à lever d’ici la fin du procès le 16 décembre.
Alors que le procès des attentats de Nice (Alpes-Maritimes) s’ouvre lundi 5 septembre à Paris, des zones d’ombres subsistent. "La cour d’assises aura un peu plus de trois mois pour tenter de lever les nombreuses zones d’ombre de ce dossier, à commencer par la véritable personnalité de l’assaillant, tué par la police. Pour comprendre son itinéraire, pour saisir ses motivations, il faudra s’en remettre au témoignage des accusés présents", affirme Éric Pelletier, en direct du palais de justice.
La sécurité de la promenade des Anglais en question
Les six hommes et une femme sont carreleurs, réceptionniste dans un hôtel ou encore petit délinquant. Ils disent vouloir répondre aux interrogations de la cour. Pour les parties civiles, "tout l’enjeu est de savoir pourquoi la Promenade des Anglais n’a pas été mieux sécurisée ce soir-là. Une chose est certaine : ce débat ne sera pas tranché puisqu’une enquête est en cours pour déterminer s’il y a eu des failles dans la sécurité", poursuit le journaliste.
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.