: Vidéo Le stylo-plume peut se faire un sang d'encre
Depuis des années, sa cote baisse auprès des élèves. Ses torts ? Il laisse les doigts sales, des pâtés dans les cahiers et il faut le recharger constamment.
Le marché du stylo-plume bat de l'aile. Une tendance qui se vérifie de façon continue. Par exemple, lors de la rentrée 2013, les ventes ont chuté de 10% par rapport à l'année précédente. Et en 2012, ses ventes avaient déjà fondu de 11% par rapport à 2011, expliquait alors 20minutes.fr.
Doigts sales, pâtés, cartouches à acheter
Les raisons de ce désamour sont connues : le stylo-plume laisse les doigts sales, des pâtés dans les cahiers et il faut le recharger constamment. Les élèves se tournent désormais vers des feutres d'écriture et des stylo-stylets numériques, comme le relevait Le Figaro lors de la rentrée 2013.
De leur côté, les ventes de stylo à bille stagnent. Mais la marque Bic lutte pour se maintenir dans les trousses des élèves. "Afin d'étayer leurs arguments et de créer le buzz, la marque lance des séries limitées. Comme ce Bic Cristal habillé d'or ou d'argent, créé l'an dernier pour célébrer les 60 ans du stylo", rappelait Challenges en 2013.
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