Cet article date de plus de douze ans.

Les gendarmes du Var annoncent leurs contrôles routiers sur Facebook

La gendarmerie du Var a ouvert au mois d'octobre une page sur le réseau social pour faire connaître son action à la population et délivrer des messages de prévention.

Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
La toute nouvelle page Facebook de la gendarmerie du Var. (FACEBOOK / FRANCETV INFO)

SOCIETE - La gendarmerie du Var a ouvert au mois d'octobre une page sur le réseau social Facebook, afin de faire connaître son action à la population et délivrer des messages de prévention, notamment en communiquant une partie des contrôles de vitesse organisés dans le département.

Cette page, à laquelle se sont inscrites plus de 2 000 personnes, a été créée à l'initiative du colonel Damien Choutet, commandant du groupement de gendarmerie du Var. "Le but est d'apporter une information générale sur la gendarmerie, sur son activité dans le département et surtout de délivrer des messages de prévention et de sensibilisation sur la délinquance et sur l'insécurité routière", explique-t-il.

Les internautes invités à poster des commentaires

Sur cette page, on trouve par exemple des informations sur le concours pour devenir officier de gendarmerie et sur les actions menées par les gendarmes. Mais aussi les lieux des contrôles routiers. "Nous serons bien sûr attentifs à la vitesse avec de nombreux contrôles comme aujourd'hui à Saint-Maximin, au Luc, à Roquebrune-sur-Argens ou encore à La Londe-les-Maures", ont posté les gendarmes du Var vendredi.

"Le but, c'est de montrer que la gendarmerie n'est pas là que pour réprimer mais qu'elle est surtout là pour assurer, par sa présence sur le réseau routier, une action de prévention", indique le colonel Choutet.

A travers la possibilité offerte aux internautes de laisser des commentaires, il souligne également l'aide qu'ils peuvent apporter aux gendarmes : "Certains appellent notre attention sur telle ou telle difficulté, ou certains secteurs dangereux. Cela nous permet aussi de déceler des endroits qu'on avait moins pris en compte, des phénomènes qu'on n'avait moins bien analysés et de pouvoir adapter notre politique de contrôle et notre présence sur le terrain."

Lancez la conversation

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour commenter.