En images Paris 2024 : l'envol des Bleus, un dauphin venu de Chine, du spectacle à revendre... Les plus belles images des Jeux paralympiques

France Télévisions - Rédaction Sport
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Les Jeux paralympiques se sont achevés, dimanche, à Paris. Retrouvez les plus belles photos de ces douze jours de fête.

Dans les airs, sur terre comme dans les eaux de Paris et sa banlieue, ce sont des clichés inscrits pour l'éternité. Au terme de douze jours de compétition, les athlètes français et internationaux ont marqué les Jeux paralympiques de leur empreinte. Spectaculaires, drôles, émouvants, retrouvez l'ensemble des plus belles photos sélectionnées par la rédaction de franceinfo: sport. 

Paris, mercredi 28 août 2024. En plein cœur de la cérémonie d'ouverture, la Patrouille de France a survolé la place de la Concorde. Un superbe spectacle éclairé par un soleil couchant sur la capitale. (BERTRAND GUAY / AFP)
Les Néerlandaises ont décroché l'or paralympique contre les Etats-Unis en basket fauteuil, rompant l'hégémonie américaine, qui s'est emparée de tous les autres titres en valide comme para dans ce sport. (FRANCOIS-XAVIER MARIT / AFP)
Un show exceptionnel de bout en bout pour lancer cette immense fête du parasport, à l'image de la performance hors du commun du chanteur lillois Lucky Love, né sans bras gauche, qui a interprété son titre "My Ability" sur la scène de la Concorde. (STEPHANE ALLAMAN / SIPA)
Charles-Antoine Kouakou, Elodie Lorandi, Fabien Lamirault, Alexis Hanquinquant et Nantenin Keïta ont eu l'honneur d'être les derniers porteurs de la flamme paralympique et ont allumé la vasque dans le jardin des Tuileries. (CHRISTOPHE ENA / SIPA)
La joie ultime d'une médaille. La pistarde Marie Patouillet, vice-championne paralympique du contre-la-montre (catégorie C4-5), peut exulter. Elle décroche la première breloque de la délégation française, le 29 août 2024, dans le vélodrome national de Saint-Quentin-en-Yvelines. (JULIEN DE ROSA / AFP)
D'un côté, la tour Eiffel éclaire la nuit parisienne. Face à elle, la vasque paralympique n'a rien à lui envier. (JOEL SAGET / AFP)
Rester concentrée en toutes circonstances. Comme la parapongiste norvégienne Aida Husic au moment de son service. (AIDAN CONRAD / SIPA)
Déjà mythique. Après le beach-volley, le site de la tour Eiffel accueille le tournoi de cécifoot. Toujours dans un cadre indescriptible. (PICOUT GREGORY / AFP)
Plongée au cœur de l'arena Champ-de-Mars. Le tatami du parajudo y règne en empereur du milieu. (JULIEN DE ROSA / AFP)
Pour certains, il faut aller le plus vite possible. Pour d'autres, aller le plus haut. Et pour la Hongroise Petra Luteran, il s'agit de maîtriser un peu tout ça et jouer avec l'apesanteur du Stade de France pour sauter loin. Très loin. (THIBAULT CAMUS / SIPA)
En immersion avec Weiyi Yuan. Le Chinois, qui a perdu ses deux bras à l'âge de 8 ans, glisse sur l'eau et ondule comme un dauphin, s'est offert deux médailles d'or et deux d'argent lors de ces Jeux paralympiques de Paris. (JOEL MARKLUND / AFP)
Un couple en or. En août, Tara Davis-Woodhall remportait la médaille d'or olympique du saut en longueur sous les yeux admiratifs de son mari, Hunter Woodhall. Quelques semaines plus tard les rôles se sont inversés. C'est lui qui a remporté l'or sur le 400 m (catégorie T62) avec les encouragements de sa femme. (DIMITAR DILKOFF / AFP)
En pleine face. La Hongkongaise Yu Chui Yee face à l'Espagnole Judith Rodriguez Menendez, le 4 septembre sous la verrière du Grand Palais. (THIBAUD MORITZ / AFP)
L'alignement parfait. Cette photo a été prise le 30 août, lors de la première série du 5 000 m (catégorie T54), au Stade de France. C'est l'Américain Brian Siemann qui mène la danse. (BOB MARTIN / AFP)
Dimitri Pavadé en lévitation. Le Français n'a pas décroché de médaille en finale du saut en longueur (catégorie T64), le 4 septembre au Stade de France avec sa quatrième place. Mais quelques jours plus tard, il a fait son coming-out sur les réseaux sociaux. "Le handicap n'est pas fait pour être caché ou en avoir honte. Il en est de même pour votre orientation sexuelle", a-t-il écrit. (GREGOIRE CAMPIONE / AFP)
Gabriel Geraldo dos Santos Araujo, dit Gabrielzinho, le 29 août, à Paris. Né sans bras, le nageur brésilien a fait le show à la Paris La Défense Arena, tant sportivement – il a remporté trois médailles d'or – qu'en-dehors des bassins, avec ses célébrations et ses danses devenues iconiques. (FRANCK FIFE / AFP)
Inspiré par Jean-Pierre Papin ? Le Dominicain Wagner Astacio aurait peut-être un bel avenir avec un ballon rond. En attendant, il nous impressionne lors du concours de saut en hauteur, mardi 3 septembre au Stade de France. (THIBAUD MORITZ / AFP)
Steve Serio, l'illusionniste. Le basketteur américain joue avec la perspective et disparaît derrière la balle lors de la finale  du tournoi de basket fauteuil, à la Bercy Arena, le 7 septembre 2024. (THOMAS PADILLA / SIPA)
En catégorie J2 pour les mal voyants, la prise incroyable du Français Nathan Petit sur l'Ouzbek Uchkun Kuranbaev, le 6 septembre 2024. (JULIEN DE ROSA / AFP)
Les Brésiliens et le ballon rond, une histoire d’amour éternelle. Exemple avec Marcio Borges dos Santos, joueur de volley assis, le vendredi 30 août. (DIMITAR DILKOFF / AFP)
Tokito Oda en tombe à la renverse. Après son succès en finale du tournoi de tennis fauteuil, le Japonais se laisse aller à une célébration bien connue porte d'Auteuil, à Roland-Garros, le 7 septembre 2024. (LILLIE YAZDI / AFP)
Au rugby fauteuil, l'Américain Chuck Aoki peine à maintenir son fauteuil d'aplomb, le 2 septembre 2024. (IAN RICE / AFP)

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