Jeux paralympiques : mode d’emploi des catégories qui classent les para-athlètes

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Jeux paralympiques : mode d’emploi des catégories qui classent les para-athlètes
Jeux paralympiques : mode d’emploi des catégories qui classent les para-athlètes Jeux paralympiques : mode d’emploi des catégories qui classent les para-athlètes (France 2)
Article rédigé par France 2 - M.Justet, M.Boisseau, J.Dulois, C.Théophilos, L.De Pavant, L.Krikorian, A.Boulet, Images CIO - droits réservés
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Chaque sport paralympique est composé de plusieurs catégories qui permettent de classer les sportifs en situation de handicap. Voici le mode d’emploi.

Des Jeux olympiques aux paralympiques, il y a tout un nouveau vocabulaire à apprivoiser. Dans chaque sport paralympique, il y a des catégories. On en compte 14 au total en para-cyclisme. Dans l’intitulé, plus le chiffre est élevé, moins le handicap est lourd. Assurer une équité sportive, voilà le rôle de ces catégories. Attention, à l’intérieur de chacune d’entre elles, ce ne sont pas forcément les mêmes handicaps. Lorsqu’il décroche l’or en poursuite à Tokyo en 2021, Alexandre Léauté affronte un Australien amputé, alors que lui a ses deux jambes. Un combat en apparence déséquilibré, pourtant, le Français souffre d’un handicap invisible.

Prouver son handicap

Chaque athlète doit prouver son handicap. Pour les faire reconnaître, le chemin administratif est long. Mais parfois, il est impossible de satisfaire tout le monde et de composer avec l’infinie diversité des handicaps.

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