Paralympiques 2024 : YouTube annonce avoir conclu un partenariat pour diffuser les épreuves à l'étranger

La plateforme permettra aux spectateurs de 175 marchés et territoires à travers le monde de visionner les épreuves gratuitement.
Article rédigé par franceinfo: sport avec AFP
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min
L'application YouTube affichée sur un téléphone portable. (NIKOLAS KOKOVLIS/ AFP)

C'est un accord qui devrait favoriser la promotion du parasport. YouTube a signé un partenariat inédit avec le Comité international paralympique (IPC) pour la diffusion en direct des Jeux de Paris 2024, de façon gratuite, dans des dizaines de pays à travers l'Asie, l'Amérique latine et l'Afrique, comme elle l'a annoncé, mercredi 28 août, dans un communiqué.

L'initiative prévoit notamment "près de 1 400 heures de diffusion en direct couvrant l'intégralité des 22 sports paralympiques, y compris les cérémonies d'ouverture et de clôture", indique YouTube. Cette diffusion en direct sera ainsi disponible dans des pays comme l'Algérie, l'Egypte, le Kenya, l'Indonésie, le Chili, la Colombie ou encore le Canada et le Japon.

Un accès gratuit pour 175 marchés dans le monde

La France ne fait pas partie des pays concernés, France Télévisions ayant acquis l'exclusivité de la diffusion sur le territoire français des Jeux paralympiques qui débutent mercredi et se tiendront jusqu'au 8 septembre. Au total, YouTube offrira, en soutien aux 160 diffuseurs officiels, un accès gratuit dans 175 marchés et territoires à travers le monde.

La plateforme, qui appartient à Google, diffusera aussi chaque jour plus de 1 200 clips et moments forts des compétitions sur la chaîne des Paralympiques. Ce partenariat doit permettre de "maximiser la portée mondiale de l'événement sportif le plus transformateur de la planète, en engageant de nouveaux publics autour des performances des paralympiens", s'est félicité Mike Peters, directeur général de l'IPC, cité dans le communiqué.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.