Vidéo On a suivi l'athlète Arnaud Assoumani à l’entraînement

Publié
Durée de la vidéo : 6 min
Lors des Jeux Paralympiques de Paris 2024, Arnaud Assoumani a un objectif : remporter une sixième médaille paralympique. Avant cela, le spécialiste français du saut en longueur et du triple saut se donne tous les moyens nécessaires lors des entraînements.
VIDEO. On a suivi l'athlète Arnaud Assoumani à l’entraînement Lors des Jeux Paralympiques de Paris 2024, Arnaud Assoumani a un objectif : remporter une sixième médaille paralympique. Avant cela, le spécialiste français du saut en longueur et du triple saut se donne tous les moyens nécessaires lors des entraînements. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
Lors des Jeux Paralympiques de Paris 2024, Arnaud Assoumani a un objectif : remporter une sixième médaille paralympique. Avant cela, le spécialiste français du saut en longueur et du triple saut se donne tous les moyens nécessaires lors des entraînements.

"Tous les jours, j'ai une routine en termes de mobilité, d'étirements, d'échauffement", explique Arnaud Assoumani, athlète français. Des capteurs avec accéléromètres et gyroscopes lui permettent de suivre des données comme sa vitesse, sa hauteur de saut et sa puissance. "Ça nous permet en fait de suivre certains critères, certaines caractéristiques quotidiennement, et après on peut faire des tests aussi", précise-t-il.

Optimisation de la prothèse pour des performances accrues

Pour ces tests, Arnaud Assoumani est entouré d'une équipe pluridisciplinaire du CREPS de Montpellier, avec des orthoprothésistes et des ingénieurs. Johanna Harel, orthoprothésiste, indique : "On va commencer sans qu'il le sache, par la prothèse la plus lourde pour aller jusqu'à la prothèse la plus légère. Et en fait, c'est lui qui va voir, par rapport à son ressenti et par rapport aux paramètres qu'on va établir, laquelle est la plus performante." L'objectif lors de ces entraînements est d'optimiser la prothèse d'Arnaud Assoumani pour ses sauts.

À regarder

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.