Pendant deux mois, la France a vibré au rythme des victoires, des performances et des découvertes. Paris était au rendez-vous avec un décor de carte postale : Grand palais, Versailles et la tour Eiffel.
Des nouveaux visages sont apparus comme celui d’Aurélie d’Aubert, championne paralympique de boccia. Son sport méconnu a pris la lumière. Au pied de la tour Eiffel, les joueurs de cécifoot ont, eux aussi, remporté leur première finale paralympique.
Il y a les nouveaux, mais aussi les légendes, comme la gymnaste américaine, Simone Biles. Revenue à son meilleur niveau après avoir abandonné à Tokyo, elle a hypnotisé le public avec trois nouvelles médailles d’or.
Elle continue d’écrire sa légende, tout comme le judoka français, Teddy Riner, champion olympique pour la troisième fois. “J’en ai rêvé longtemps, je suis très fier“ a confié le champion français.
Une parenthèse dorée
Les spectateurs méritent bien une médaille pour l’ambiance. Au Club France, ils étaient des milliers à rêver et à communier avec les athlètes. “C’est un endroit à vivre qui est super“, a confié un spectateur. Les bénévoles ont, eux aussi, fait le spectacle. Ils étaient 45 000, toujours souriants.
Des exploits qui restent et des émotions qui marquent comme la joie, mais aussi la tristesse. “Je repars comme ça, ça me fait super mal au cœur“, a commenté en pleurs, Nantenin Keïta, à l’issue de la finale du 400m.
Une parenthèse dorée à l’image de la vasque qui s’est envolée chaque soir, symbole de ces Jeux de Paris.
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