Paris 2024 : les supporters français décrochent la médaille d’or

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À chaque épreuve, les supporters français font preuve d’une ferveur sans équivalent depuis le début des Jeux. Il en devient presque difficile pour les adversaires des athlètes tricolores de ne pas être déstabilisés.
Paris 2024 : les supporters français décrochent la médaille d’or À chaque épreuve, les supporters français font preuve d’une ferveur sans équivalent depuis le début des Jeux. Il en devient presque difficile pour les adversaires des athlètes tricolores de ne pas être déstabilisés. (France Info)
Article rédigé par franceinfo - C. Rougerie, A. Richier, C. Sinz, M. Manière, S. Thiébaut, E. Delevoye, M. Cario, A. Tribouart, G. Marque, C. Ricco
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À chaque épreuve, les supporters français font preuve d’une ferveur sans équivalent depuis le début des Jeux. Il en devient presque difficile pour les adversaires des athlètes tricolores de ne pas être déstabilisés.

Leur ferveur marque le début de ces Jeux. Du Stade de France au stade de Lille (Nord), de la piscine olympique au Grand Palais, les Français décrochent la médaille d’or des supporters. Il y a ceux qui chantent, ceux qui dansent ou battent le rappel, tous en chœur derrière le Club France. "On est là dans tous les sports pour les encourager et on sera là jusqu’au bout", lance l’un d’eux. Un feu sacré qui propulse nos dauphins des bassins, comme Yohann Ndoye-Brouard, et porte au sommet la star des parquets, Victor Wembanyama.

Un poids sur le moral adverse


À l’inverse, viser le panier sous les sifflets ou la touche à l’épée sous les huées, c'est très compliqué. Dimanche après-midi, le Japonais Kazuyasu Minobe en a fait les frais : "C’est évidemment déstabilisant car on a toujours besoin de soutien. Et comme l’adversaire était très encouragé, c’était très négatif pour moi". Il va pourtant falloir s’y faire, car les spectateurs, à chaque heure, continuent de pousser les Français, comme Amandine Buchard, tout juste médaillée. Désormais, les sportifs tricolores souhaitent que la ferveur demeure.

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