Paris 2024 : un nouveau pôle créé à l'Insep pour améliorer la préparation mentale des athlètes français

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Lors des Jeux olympiques de Rio, au Brésil, 15% des athlètes français avaient eu une préparation mentale. Ce taux a été multiplié par deux à l'approche des Jeux de Paris, grâce à un nouveau pôle de performance créé à l'Insep. Les athlètes s'habituent notamment à performer dans la cacophonie.
Paris 2024 : un nouveau pôle créé à l'Insep pour améliorer la préparation mentale des athlètes français Lors des Jeux olympiques de Rio, au Brésil, 15% des athlètes français avaient eu une préparation mentale. Ce taux a été multiplié par deux à l'approche des Jeux de Paris, grâce à un nouveau pôle de performance créé à l'Insep. Les athlètes s'habituent notamment à performer dans la cacophonie. (France 2)
Article rédigé par France 2 - J. Lonchampt, B. Poulain, G. Marque, C. Alphonse
France Télévisions
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Lors des Jeux olympiques de Rio, au Brésil, 15% des athlètes français avaient eu une préparation mentale. Ce taux a été multiplié par deux à l'approche des Jeux de Paris, grâce à un nouveau pôle de performance créé à l'Insep. Les athlètes s'habituent notamment à performer dans la cacophonie.

Depuis septembre 2023, France Télévisions partage le quotidien de six athlètes olympiques, et suit notamment leur préparation psychologique. Ce jour-là, le public est invité à l'Insep pour simuler l'ambiance d'une compétition de tir à l'arc, avec notamment des sifflets. Des interviews sont également prévues pour cet entraînement. Voici la recette de l'équipe de France pour habituer ses archers au bruit. L'exercice est avant tout psychologique. Pour anticiper la tension qui devrait régner aux Jeux olympiques de Paris, les sportifs s'habituent à la cacophonie.

300 athlètes de l'Insep sont suivis

En 2016, lors des Jeux de Rio (Brésil), 15% des athlètes français bénéficiaient d'une préparation mentale. C'est deux fois plus aujourd'hui, grâce à un tout nouveau pôle de performance à l'Insep, qui emploie 15 salariés à temps plein. À trois mois du début des Jeux, 300 athlètes de l'Insep sont donc suivis. Erwan Konaté, spécialiste du saut en longueur et membre de l'équipe de France d'athlétisme, en fait partie. Il bénéficie des conseils d'Elyse Lopez, sa préparatrice mentale.

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