Vidéo Avec les gardiens de la flamme olympique
Ce soir, c’est Charlotte, professeure d’anglais dans l’armée de l’air, et Fanny, policière, qui ont pour mission de veiller sur les flammes olympiques. Et comme “tous les soirs”, elles ont pour “rituel” de “donner à manger” aux flammes c’est-à-dire de remplir leur réservoir de paraffine afin de maintenir un feu constant. "Les filles ont mangé. Elles peuvent aller se coucher - avec nous, par la même occasion" commente Fanny quelques minutes plus tard.
"On dort avec, on déjeune, on dîne avec. C’est nos bébés”
De la même manière, la journée, le transfert de la flamme d’un porteur à l’autre nécessite de respecter un “rituel” bien précis. Enfin, les lanternes et les torches sont lustrées afin de rester les plus lumineuses possibles. "On les nettoie pour qu'elles soient belles à l'image. On s'en occupe avec précaution, attention", explique Gabriel, un militaire. L'objectif est de "toujours préserver la provenance originelle" de la flamme allumée à Olympie. En effet, selon la tradition antique, la première torche du relais a été allumée grâce aux rayons du soleil à Olympie en Grèce, où avaient lieu les Jeux antiques.
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