JO de Paris 2024 : ces Jeux laisseront "une marque dans le temps", soutient le directeur exécutif des Jeux olympiques

Christophe Dubi a salué par ailleurs la ferveur du public français lors de cette quinzaine olympique.

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Radio France

Publié le 09/08/2024 21:10

Temps de lecture : 2min

Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques, sur franceinfo le 9 juillet 2024. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)

"Il y un avant et un après Jeux de Paris", soutient vendredi 9 août sur France Inter Christophe Dubi, directeur exécutif des Jeux olympiques au sein du CIO. Il est persuadé que ces Jeux laisseront "une marque dans le temps", d'autant qu'ils ont réussi à "casser les codes, innover et créer". Invité sur franceinfo, Christophe Dubi se réjouit de voir que "les Jeux se sont adaptés aux territoires", en créant "de l'hébergement, des stades" ou encore "une piscine en Seine-Saint-Denis".

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Christophe Dubi explique qu'il "y a dix ans", le CIO avait "une feuille de route stratégique", à travers laquelle il "imaginait des Jeux qui s'adaptent au contexte, des Jeux plus légers, très respectueux de toutes les dimensions de la durabilité, ouverts pour tous". "Dix ans plus tard, la France l'a fait", se targue-t-il sur France Inter.

"Les supporters français ont été incroyables"

Christophe Dubi salue par ailleurs sur franceinfo la ferveur du public français lors de cette quinzaine olympique. "Les supporters français ont été incroyables vis-à-vis de tous les athlètes et c'est quelque chose qu'on n'avait plus vécu depuis très longtemps", assure-t-il. Le directeur exécutif des Jeux olympiques tire ainsi son "chapeau pour l'ensemble de l'œuvre sur l'organisation" mais aussi pour "le soutien pour toutes les délégations".

Le directeur exécutif des Jeux olympiques revient par ailleurs sur France Inter sur les Jeux olympiques d'hiver de 2030 attribués aux Alpes français. Interrogé sur la faisabilité de Jeux une nouvelle fois durables, Christophe Dubi assure que ce qui sera réalisé "avec les Régions, c'est d'équiper la montagne différemment, de construire des ascenseurs valléens, parce que ça ne vaut plus la peine de monter des véhicules en montagne". "On va créer des lignes de train pour permettre le transport public de Nice à Briançon", ajoute-t-il.

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