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En images JO 2022 : Clément Noël, Carole Montillet, Jean-Claude Killy, les soeurs Goitschel... Les douze champions olympiques du ski alpin français

Article rédigé par franceinfo: sport, Loris Belin
France Télévisions - Rédaction Sport
Publié
Temps de lecture : 1min

Le skieur de 24 ans a rejoint le club très fermé des champions olympiques tricolores en ski alpin, mercredi, en remportant le slalom des Jeux olympiques de Pékin.

Le ski français attendait ça depuis 16 ans. Clément Noël a renoué avec la riche histoire du ski alpin français aux Jeux olympiques d'hiver en décrochant, mercredi 16 février, le titre olympique de slalom des JO de Pékin. Il succède à Antoine Dénériaz, dernier tricolore sacré, à Turin en 2006. La performance est grande, historique même. Le skieur de Val d'Isère est devenu le douzième champion olympique français en ski alpin, 74 ans après le premier de cordée, Henri Oreiller. Retour en clichés sur ces héros hexagonaux de la poudreuse.

Révélation frustrée des Jeux de Pyeongchang (4e, à 0"04 du podium), Clément Noël prend une éclatante revanche en 2022 à Pékin. Le Vosgien survole la deuxième manche du slalom pour décrocher son premier titre d'envergure. (JEFF PACHOUD / AFP)
Il en est tombé à la renverse. Confortablement en tête après la première manche du slalom, Jean-Pierre Vidal assure pour décrocher l'or à Salt Lake City lors des JO 2002. Vidal devance son compatriote Sébastien Amiez. (JEFF HAYNES / AFP)
Quelques jours avant Jean-Pierre Vidal, Carole Montillet fait résonner la Marseillaise à Salt Lake City. La Tricolore devient championne olympique de descente le 12 février 2002, elle qui était pourtant en crise de confiance avant la course. (OLIVIER MORIN / AFP)
A Nagano, Jean-Luc Crétier surprend tout le monde. Le skieur d'Albertville n'a jamais gagné sur la scène internationale avant les JO 1998. Mais à Nagano, "Kabou" est sacré sur la descente grâce à une impeccable lecture du tracé. (BORIS HORVAT / AFP)
A Calgary en 1988, Franck Piccard écrit l'histoire du ski français. Le Savoyard devient le premier champion olympique tricolore sur le Super-G, quelques jours après avoir décroché le bronze en descente.  (PHILIPPE BOUCHON / AFP)
Les JO de 1968 à Grenoble portent le sceau de Jean-Claude Killy. Sur les pistes de Chamrousse, Killy rafle tout et signe un triplé historique en remportant l'or en descente, en géant, puis en slalom.  (STAFF / AFP)
En équipe de France depuis ses 14 ans, Marielle Goitschel devient une vedette du ski en remportant deux titres olympiques : le géant à Innsbruck en 1964, puis le slalom à Grenoble en 1968. Comme Killy, elle arrête sa carrière juste après les Jeux 68. (STAFF / AFP)
Dans la fratrie Goitschel, je veux aussi la grande soeur. Christine Goitschel était devenue quelques jours avant sa cadette, et juste devant elle, championne olympique du slalom des Jeux olympiques d'Innsbruck en 1964. (STAFF / AFP)
Très jeune talent révélé dès les années 50, François Boileau décroche le titre olympique du géant, sa course de prédilection, lors des JO d'Innsbruck en 1964. Avec les Goitschel ou Killy, il est l'un des autres visages de l'âge d'or du ski français.  (AFP)
En 1960 sur les Jeux olympiques de Squaw Valley, Jean Vuarnet signe une petite révolution dans le monde du ski. Il est le premier à expérimenter la position "de l'oeuf" pour la recherche de vitesse. Il décroche l'or en descente. (AFP)
Remis quelques mois plus tôt d'une rupture des ligaments croisés du genou, et avec le dossard 30, Antoine Dénériaz crée la sensation en décrochant l'or de la descente des JO de Turin en 2006. (JEFF HAYNES / AFP)
Il est le premier skieur français champion olympique. Lors des premiers JO d'hiver d'après-guerre, en 1948 à Saint-Moritz, Henri Oreiller remporte l'or sur la descente, avec plus de quatre secondes d'avance sur le 2e. Il récidive sur le combiné. (AFP)

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