Vidéo JO 2024 : à l’entraînement avec Sara Balzer, sabreuse

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Durée de la vidéo : 4 min
A 28 ans, Sara Balzer participe aux Jeux olympiques de Paris 2024 au sein de l’équipe de France d’escrime. Brut l’a suivie quelques mois plus tôt à l' entraînement.
VIDEO. JO 2024 : à l’entraînement avec Sara Balzer, sabreuse A 28 ans, Sara Balzer participe aux Jeux olympiques de Paris 2024 au sein de l’équipe de France d’escrime. Brut l’a suivie quelques mois plus tôt à l' entraînement. (Brut.)
Article rédigé par Brut.
France Télévisions
A 28 ans, Sara Balzer participe aux Jeux olympiques de Paris 2024 au sein de l’équipe de France d’escrime. Brut l’a suivie quelques mois plus tôt à l' entraînement.

Ses débuts dans l’escrime remontent à sa petite enfance : "Avec ma sœur, on était en centre aéré d'été. Elle s'est fait repérer par l'entraîneur parce qu'elle était plutôt pas mal au sabre. Donc elle a commencé. Et moi, à l'époque, je recopiais tout, Donc j'ai recopié aussi ça" explique Sara Balzer. Rapidement, la passion anime les deux sœurs. "On se battait contre des garçons. Et donc il y avait ce truc un peu challengeant au club", raconte la sabreuse. Compétitions internationales, entraînement… Le sport passe au premier plan dans sa vie, poussant même ses parents à la “rappeler à l’ordre” pour qu’elle obtienne son baccalauréat. 

“J'avais pas d'études en tête. Je n'avais que l'escrime”

Le bac en poche, elle s’inscrit dans une formation en communication digitale par correspondance. Un cadre qui lui offre une grande liberté pour se consacrer à sa véritable passion qu’est le sabre. "Ce qui différencie les trois armes, le fleuret, l'épée, le sabre, c'est que moi, je peux toucher avec toute la lame" précise la sportive. L'escrime reste un sport méconnu du grand public en dehors des grands événements. "Ce qui est surprenant, c'est que pendant les Jeux, tout le monde nous parle de l'escrime. [...] Et quand les Jeux s'arrêtent, bah en fait, le truc s'estompe et il n'y a plus rien", regrette Sara Balzer.

Pourtant, l'escrime conjugue à la fois l'aspect ludique et combatif selon la sportive. "Il faut essayer de deviner Il faut essayer de piéger. Il faut essayer de surprendre. Il faut essayer de coincer. Tu vois, il y a ce truc, vraiment, c'est un jeu et en même temps, c'est aussi un combat", décrit-elle avec passion. Une "quête sans cesse d'excellence" qui fait tout le sel de sa discipline.



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