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LA PHOTO. Afrique du Sud: «Durban July», la crème de la mode au champ de courses

Les Anglais ont le Royal Ascot et son défilé de chapeaux colorés et excentriques, les Sud-Africains, le Durban July, moins sang bleu mais tout aussi extravagant. Le premier samedi de chaque mois de juillet, la course hippique attire tout ce que l'Afrique compte de jet-setteurs et de people. On vient de loin pour participer à cet événement mondain mêlant exploit sportif et folies vestimentaires.
Article rédigé par Véronique le Jeune
France Télévisions
Publié
Temps de lecture : 1min
A quelques instants de leur défilé devant les tribunes de l'hippodrome de Greyville, dans les faubourgs de Durban, deux mannequins révisent leur passage. Depuis son lancement en 1897, le Durban July entretient une forme de compétition entre le spectacle de la piste et celui des gradins. Beaucoup de spectateurs, qui ont investi une grosse somme dans leur tenue, avouent ne rien connaître au turf mais viennent pour voir et être vus. Côté jockeys, le Durban July, un plat de 2.200 mètres, est pourtant considéré comme la course qu'il faut à tout prix gagner. (Rajesh JANTILAL / AFP)

Dans les coulisses du Durban July. A quelques instants de leur défilé devant les tribunes de l'hippodrome de Greyville, dans les faubourgs de Durban, deux mannequins révisent leur passage. Depuis son lancement en 1897, le Durban July entretient une forme de compétition entre le spectacle de la piste et celui des gradins. Beaucoup de spectateurs, qui ont investi une grosse somme dans leur tenue, avouent ne rien connaître au turf mais viennent pour voir et être vus. Côté jockeys, le Durban July, un plat de 2.200 mètres, est pourtant considéré comme la course qu'il faut à tout prix gagner.

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