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LA PHOTO. L’hôtel de la plage détruit par les eaux à Abidjan

Le littoral ivoirien est en permanence menacé par l’érosion côtière. La montée des eaux atteint parfois un mètre par an en moyenne. Fin août 2018, d’importantes vagues ont ravagé un hôtel sur la plage de Vridi, dans la banlieue d’Abidjan.
Article rédigé par Eléonore Abou Ez
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
une vue idyllique pour ce petit hôtel de Vridi qui n’a pas résisté au déferlement de vagues violentes. La montée des eaux a occasionné des dégâts importants transformant ce site en ruines. L’érosion côtière, due en grande partie au réchauffement climatique, menace depuis plusieurs années la côte ivoirienne. La Banque mondiale a octroyé récemment plus de 30 millions de dollars à la Côte d’Ivoire pour l’aider à lutter contre ce phénomène. Il s’agit notamment de promouvoir diverses mesures, telles que la fixation de dunes, la restauration de zones humides et de mangroves, le rechargement de plages (le fait de remettre artificiellement du sable), la construction d’ouvrages de protection et de digues. (Issouf Sanogo/ AFP)

Face à la mer, une vue idyllique pour ce petit hôtel de Vridi qui n’a pas résisté au déferlement de vagues violentes. La montée des eaux a occasionné des dégâts importants transformant ce site en ruines. L’érosion côtière, due en grande partie au réchauffement climatique, menace depuis plusieurs années la côte ivoirienne. La Banque mondiale a octroyé récemment plus de 30 millions de dollars à la Côte d’Ivoire pour l’aider à lutter contre ce phénomène. Il s’agit notamment de promouvoir diverses mesures, telles que la fixation de dunes, la restauration de zones humides et de mangroves, le rechargement de plages (le fait de remettre artificiellement du sable), la construction d’ouvrages de protection et de digues.

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