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Photo hebdo : les évacuations à Kaboul, la crise alimentaire en Haïti et l'image forte des Jeux paralympiques

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Photo hebdo : les évacuations à Kaboul, la crise alimentaire à Haïti et l'image forte des Jeux paralympiques
Photo hebdo : les évacuations à Kaboul, la crise alimentaire en Haïti et l'image forte des Jeux paralympiques Photo hebdo : les évacuations à Kaboul, la crise alimentaire à Haïti et l'image forte des Jeux paralympiques (France 2)
Article rédigé par France 2 - M. Berrurier, D. Chevalier
France Télévisions
France 2

La détresse des Haïtiens en attente d'aides alimentaires après le séisme, les évacuations qui se poursuivent à Kaboul, et la performance époustouflante d'un pongiste égyptien aux Jeux paralympiques...La rédaction du 20 Heures de France 2 vous propose, comme chaque semaine, un retour en images sur l'actualité des derniers jours. 

Chaque vendredi soir, la rédaction du 20 Heures sélectionne les photos marquantes des dernières actualités. Sur le premier cliché, des Haïtiens affamés semblent prêts à en découdre pour obtenir un sac de riz. Sur l'île, ravagée par un séisme, les autorités peinent à organiser l'aide alimentaire pour les 600 000 qui n'ont plus rien. A Kaboul, l'urgence est toute aussi absolue. Sur cette deuxième photo, prise en pleine nuit, les candidats à l'exfiltration se pressent pour embarquer dans les derniers avions américains. 

Aux Jeux paralympiques de Tokyo, il tient sa raquette dans sa bouche

Sur la photo suivante, prise à Gaza, une enfant se tient debout dans sa maison détruite. La ville n'est plus qu'un tas de ruines. L'image suivante a été prise à Tokyo lors des Jeux paralympiques. La performance d'un pongiste égyptien a fait sensation : privé de ses deux bras, il utilise ses pieds pour servir et ses dents pour coincer la raquette. Le cliché suivant a été pris à Taïwan lors de la pêche au feu, une technique ancestrale. Dans la nuit, les torches enflammées des pécheurs attirent des centaines de sardines. La chronique s'achève non pas avec des sardines, mais des moutons, eux aussi par centaines, impeccablement rangés pour dessiner un cœur géant. C'est l'hommage d'un berger australien à sa tante décédée. 

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