Sendai, la ville la plus proche de l'épicentre du séisme, une mégalopole grande comme Paris et la proche banlieue. Des zones ravagées et d'autres qui le sont moins voire pas du tout. Ainsi Eric Rohmer, un ingénieur français installé là-bas depuis dix ans, décrit sur France Info un centre-ville où les dégâts ne sont qu'à peine visibles.
“Là où on habitait, il n'y avait plus d'électricité, ni de d'eau, ni de gaz, donc nous avons décidé de nous rapprocher du centre ville. Dans le centre, la ville n'a pas vraiment changé. Il y a très peu de dégâts dus au tremblement de terre. Quelques immeubles avec des craquelures à l'intérieur. Quelques vitres cassées, réparées avec des cartons... Ce qui choque le plus, c'est l'absence d'électricité... Non, le tsunami n'est pas arrivé jusque dans la ville de Sendai ” raconte Eric Rohmer, installé depuis 10 ans dans la banlieue de Sendai avec sa famille et qui s'interroge sur le fait de savoir s'ils vont rester ou partir.
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