Ukraine : les violences s'intensifient en marge du sommet de la "dernière chance" à Minsk

franceinfo

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Publié le 11/02/2015 18:23 Mis à jour le 11/02/2015 21:04

De gauche à droite, le président biélorusse Alexander Lukashenko, son homologue russe Vladimir Poutine, la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande et le président ukrainien Petro Poroshenko le 11 février 2015 à Minsk (Biélorussie).  (GRIGORY DUKOR / REUTERS) — De gauche à droite, le président biélorusse Alexander Lukashenko, son homologue russe Vladimir Poutine, la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande et le président ukrainien Petro Poroshenko le 11 février 2015 à Minsk (Biélorussie). (GRIGORY DUKOR / REUTERS)

Poutine, Porochenko, Merkel et Hollande sont réunis mercredi en Biélorussie pour un sommet considéré comme celui de la dernière chance avant une guerre ouverte dans l'est de l'Ukraine.

Ce qu'il faut savoir

Poutine, Porochenko, Merkel et Hollande : les quatre dirigeants sont à Minsk (Biélorussie), mercredi 11 février, pour un sommet considéré comme celui de la dernière chance avant une guerre ouverte dans l'est de l'Ukraine. Suivez les derniers événements dans notre direct.

• "Un tournant, pour le meilleur ou pour le pire". Le président français, la chancelière allemande et le président ukrainien ont retrouvé mercredi après-midi leur homologue russe Vladimir Poutine à Minsk, au soir de l'une des journées les plus sanglantes du conflit. Le sommet de Minsk sera "un tournant, pour le meilleur ou pour le pire", a résumé la chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini.

• Un entretien franco-germano-ukrainien avant le sommet. François Hollande et Angela Merkel se sont entretenus avec Petro Porochenko avant ce sommet de la "dernière chance" sur l'Ukraine.

Les combats s'intensifient dans l'Est de l'Ukraine. Sur le terrain, soldats ukrainiens et rebelles intensifient leurs combats pour arriver en position de force à la table des négociations. Une cinquantaine de personnes, civils et soldats, ont ainsi été tuées mardi et mercredi, l'un des plus lourds bilans depuis le début, il y a dix mois de ce conflit, qui a déjà fait plus de 5 300 morts. Mercredi soir, un hôpital a été touché par un bombardement dans le centre de Donetsk, bastion des séparatistes prorusses dans l'Est, qui a fait un mort civil, selon les autorités séparatistes.