: Vidéo L'allégement de la dette grecque, "inévitable" et "de bon sens"
Sur le plateau de France 2, François Lenglet revient sur l'abyssale dette grecque et l'austérité imposée par l'Europe au pays, deux critères déterminants dans la victoire de Syriza aux élections législatives.
Alors que Syriza triomphe, comme attendu, aux élections législatives de ce dimanche 25 janvier 2015, François Lenglet nous éclaire sur la dette grecque. "Les Grecs n'étaient pas responsables de la dette récente", rappelle d'entrée le journaliste de France 2.
"Plus de 300 milliards d'euros, c'était effectivement insupportable", confie-t-il avant de poursuivre : "Même le FMI le dit, et ce n'est pas un organisme d'extrême gauche. Syriza était le seul parti grec à le dire aussi clairement et à demander un allégement du fardeau."
La dette, en partie une conséquence de la politique de... l'Europe
Selon François Lenglet, "un allégement est non seulement inévitable, mais aussi de bon sens, parce que justement, cette dette ne provient pas de dépenses inconsidérées. Elle est la conséquence, en partie, de la politique économique imposée à la Grèce par l'Europe. Sans compter que les Grecs, dans l'intervalle, ont fait énormément d'efforts ; leurs revenus ont baissé de 25%, les pensions ont été diminuées de 40% et le coût des soins médicaux a, lui, bondi de 30%".
Commentaires
Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.