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Martine Laroche-Joubert : «Ne pas compter que sur la chance»

Du Liban à Haïti, de Paris à New-York, d’un 52 minutes à un sujet pour le 20 heures ; Martine Laroche-Joubert est, elle aussi, une des «historiques» de France 2. Elle revient sur certains de ces moments périlleux mais parfois nécessaires qui jalonnent la vie d’un reporter: franchir une frontière clandestinement, interviewer des opposants recherchés ou franchir une ligne de front.
Article rédigé par Hervé Pozzo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
Février 2011: Martine Laroche-Joubert et son équipe sont parmi les premiers journalistes étrangers à entrer en Libye (France Télévisions)

Martine Laroche-Joubert débute au Quotidien de Paris, en 1974, pour rejoindre Antenne 2 à sa création, un an plus tard. Elle y présentera l’émission sur le rock «Un jour futur», puis intègre le service des informations générales et enfin celui de la politique étrangère, en 1983. Elle effectuera de nombreux reportages dans l’ex-URSS et ses pays satellites puis en Haïti, au Liban, en Afrique et au Moyen-Orient.

En 1991, elle couvre la première guerre du Golfe puis vient la Bosnie, le Zaïre et le Rwanda. En 1994 elle participe à la création de l’émission «Kilomètre zéro» et deviendra ensuite rédactrice en chef et reporter pour le magazine Géopolis, avant de revenir à la rédaction de France 2.

Elle obtiendra le Prix Bayeux des lycéens pour un reportage au Zaire («La route de l’enfer» avec Roger Motte). En 2003, elle part couvrir la troisième guerre du Golfe puis sera nommée correspondante à New York, jusqu’en 2009.

Ces deux dernières années, elle a suivi les révolutions du «Printemps arabe» en Libye et en Syrie

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