Cet article date de plus d'un an.

Attaque du Hamas contre Israël : au moins 17 Français tués et 15 autres portés disparus, selon le ministère des Affaires étrangères

En déplacement à Tel-Aviv, Catherine Colonna doit rencontrer dimanche à l'ambassade des familles françaises inquiètes pour leurs proches disparus.
Article rédigé par franceinfo avec AFP
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1min
La ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, et le ministre délégué aux Transports, Clément Beaune, accueillent des rapatriés français d'Israël à l'aéroport Charles-de-Gaulle à Paris, le 12 octobre 2023. (MEHDI FEDOUACH / AFP)

Le bilan des ressortissants français tués dans les attaques du Hamas contre Israël s'est encore alourdi, passant à 17 morts, a annoncé, samedi 14 octobre, le ministère des Affaires étrangères. Par ailleurs, les autorités françaises restent "sans nouvelles de quinze compatriotes dont la situation est considérée comme très inquiétante, et dont certains ont très probablement été enlevés".

>> Guerre entre Israël et le Hamas : suivez les dernières informations dans notre direct

Le Quai d'Orsay affirme être en relation avec les familles des victimes et des personnes disparues. La cheffe de la diplomatie française est arrivée samedi soir à Tel-Aviv, pour exprimer la solidarité de la France à Israël, une semaine après "des attaques terroristes sans précédent" perpétrées par le Hamas. Catherine Colonna doit rencontrer dimanche à l'ambassade des familles françaises inquiètes pour leurs proches disparus.

Trois nouveaux vols spéciaux sont programmés dimanche pour rapatrier les ressortissants français depuis Tel-Aviv. "Les personnes vulnérables, mineurs isolés et femmes enceintes en particulier, en situation de handicap ou en situation médicale présentant une urgence particulière, seront prioritaires sur les vols spéciaux organisés", précise le ministère des Affaires étrangères. Depuis jeudi, quatre vols ont eu lieu pour rapatrier près de 1 200 passagers.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.