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Vidéo La vibrante étreinte de Barack Obama et Hillary Clinton lors de la convention démocrate

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Article rédigé par franceinfo
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Barack Obama a estimé, mercredi dans une ambiance surchauffée à Philadelphie, que son ancienne chef de la diplomatie était la seule capable de diriger les Etats-Unis, face à un Donald Trump durement critiqué.

"Je peux dire en toute confiance que jamais un homme ou une femme n'a été aussi qualifié qu'Hillary Clinton pour la présidence des Etats-Unis d'Amérique." Barack Obama a passé, mercredi 27 juillet, le flambeau de sa présidence à son ancienne chef de la diplomatie, dans une ambiance surchauffée durant la convention démocrate à Philadelphie.

Une ovation assourdissante a retenti lorsque, à la fin du discours de Barack Obama, Hillary Clinton l'a rejoint sur scène. Les deux alliés sont tombés bras dessus bras dessous, multipliant les gestes de complicité et savourant l'acclamation des délégués démocrates, sous les yeux notamment de Bill et Chelsea Clinton.

"Elle est prête pour le poste de commandante en chef"

Au cours de son discours de trois quarts d'heure, Barack Obama a exhorté son camp à se déplacer en masse pour élire Hillary Clinton en novembre. "Vous ne pouvez pas vous permettre de rester chez vous au prétexte que vous n'êtes pas d'accord à 100 % avec elle", a-t-il lancé.

Le président américain est longuement revenu sur le bilan de ses huit années passées au pouvoir, affirmant que la seule personne capable de reprendre le flambeau s'appelait Hillary Clinton, insistant sur son expérience et sa ténacité. "Je sais qu'Hillary n'arrêtera pas tant que l'Etat islamique ne sera pas détruit. Elle ira jusqu'au bout de la mission, et elle le fera sans recourir à la torture et sans interdire à des religions entières d'entrer sur notre territoire. Elle est prête pour le poste de commandante en chef."

A l'inverse, il a brossé le portrait d'un Donald Trump peu intéressé par les faits et à l'éthique douteuse, soulignant les procès qui ont émaillé la carrière de l'homme d'affaires. Surtout, il a dénoncé la vision pessimiste du candidat républicain, déplorant que la convention de son parti de la semaine dernière n'ait exprimé que "ressentiment, colère et haine".

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