"Donald Trump est debout, le poing levé, combatif", souligne le représentant du parti républicain américain en France

L'ex-président américain Donald Trump a été blessé à l'oreille droite dans un attentat par balle au cours d'un meeting, samedi à Butler (Pennsylvanie). Le tireur et un spectateur ont été tués.
Article rédigé par franceinfo
Radio France
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Donald Trump évacué par les services de sécurité après la tentative d'assassinat qui l'a blessé, le 13 juillet à Butler (Pennsylvanie) (DAVID MAXWELL / MAXPPP)

"Donald Trump reste le poing levé, combatif, et sera là pour porter les États-Unis pour les quatre années à venir", réagit dimanche 14 juillet sur franceinfo le Franco-Américain Nicolas Conquer, porte-parole des Republicans Overseas, qui représente le parti de Donald Trump en France. Après la tentative d'assassinat visant l'ex-président américain lors d'un meeting électoral aux États-Unis, Nicolas Conquer fait part de son "effroi" de voir "cette balle passée à quelques millimètres de la tête" de Donald Trump, "un miraculé".

"Il a été blessé mais il est debout, le poing levé, et il montre toute sa détermination et sa combativité", répète Nicolas Conquer, faisant aussitôt de cet attentat un argument de campagne. "Donald Trump illustre la détermination et le succès lorsqu'il sera président. On le voit descendre sans aide de son avion, cela montre la combativité et la résilience du personnage", ajoute-t-il.

"La responsabilité de Joe Biden et d'autres responsables démocrates"

Nicolas Conquer se dit "rassuré, mais aussi affolé" du "climat de violence exacerbé" de la campagne américaine. Il met en garde contre la parole "performative" qui "pousse aux actes" et "peut générer des comportements extrêmement violents", pointant du doigt "la responsabilité de Joe Biden et d'autres responsables démocrates qui n'ont eu de cesse de dire que Donald Trump était le nouveau Hitler", "pire que Mussolini".

Le porte-parole des Republicans Overseas en France appelle au calme et à "laisser jouer le jeu démocratique" en vue de l'élection présidentielle du 5 novembre. "Le sang a assez coulé", conclut-il.

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