Défilé du 14 juillet : l'Afrique à l'honneur... sous le déluge
C'est un détachement béninois entièrement composé de femmes (en mémoire des "Amazones" du royaume d’Abomey) qui a ouvert le cortège. Suivi des détachements représentant le Burkina Faso, le Cameroun, la République de Centrafrique, la République du Congo (Brazzaville), le Gabon, Madagascar, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, le Tchad, et le Togo, sous le regard de leurs chefs d'Etat, invités au côté de Nicolas Sarkozy dans la tribune dressée place de la Concorde.
_ Parmi les ex colonies de la France, qui célèbrent cette année le 50e anniversaire de l'indépendance, seule la Côte d’Ivoire avait décliné l’invitation.
Le défilé a ensuite repris un visage plus traditionnel, avec les unités des trois armes nationales (Terre, Air, Marine), mais aussi les écoles militaires (notamment l'Ecole des mousses de la Marine nationale, dont Hervé Morin a souhaité la réouverture), les motards de la Gendarmerie nationale et, pour la troisième année des pompiers volontaires et professionnels.
Les avions, notamment la patrouille de France, avaient lancé le défilé. Une heure et demie plus tard, ce sont les hélicoptères de l'Armée qui l'ont refermé, avec en point d'orgue l'atterrissage de huit parachutistes place de la Concorde, juste devant la tribune présidentielle.
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