Cet article date de plus de dix ans.

Le voyage de Valérie Trierweiler en Inde sera "à caractère privé"

Son déplacement est financé par des "partenaires privés indiens et français" de l'ONG Action contre la faim.

Article rédigé par franceinfo
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
Valérie Trierweiler, le 28 août 2013, à Cabourg (Calvados), lors d'une opération organisée par une ONG. (CHARLY TRIBALLEAU / AFP)

Nul doute que son apparition sera scrutée et disséquée. Après une hospitalisation à la Pitié-Salpêtrière et un séjour à La Lanterne, Valérie Trierweiler doit réapparaître au grand jour, lundi 27 janvier, pour un voyage en Inde.

Elle doit visiter un hôpital à Bombay, où l'ONG Action contre la faim (ACF) finance un programme de pâte nutritionnelle pour enfants mal nourris. Elle doit assister à une session de formation du personnel médical puis à un déjeuner de levée de fonds avec des femmes de chefs d'entreprise locaux. Un dîner de charité est ensuite prévu à l'hôtel Taj Mahal. Ce voyage est financé par des "partenaires privés indiens et français, mais essentiellement indiens", a fait savoir ACF.

"Voyage privé"

La directrice d'ACF, Valérie Daher, a insisté sur le "caractère privé" du voyage de Valérie Trierweiler en Inde, qui était prévu de longue date. "Elle soutenait déjà Action contre la faim avant même d'être 'First Lady', donc la question pour nous est indépendante de sa relation avec le président", a-t-elle plaidé sur BFMTV. Néanmoins, les activités humanitaires de Valérie Trierweiler ont pris de l'importance depuis qu'elle est Première dame.

Mais doit-elle toujours être considérée comme Première dame ? Le flou règne toujours sur son statut depuis que Closer a révélé la relation de François Hollande avec l'actrice Julie Gayet. Principale échéance : un voyage officiel aux Etats-Unis le 11 février assorti d'un dîner d'Etat. L'absence de Valérie Trierweiler ne poserait toutefois pas de problème protocolaire.

En effet, il n'existe pas de statut officiel dans les deux pays pour les Premières dames. Mais en confirmant la visite de son homologue français, le 22 novembre dernier, Barack Obama s'était dit, en son nom et celui de son épouse, "impatient d'accueillir le président Hollande et Valérie Trierweiler" à la Maison Blanche.

Commentaires

Connectez-vous à votre compte franceinfo pour participer à la conversation.