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Villepin : Sarkozy "est parti du mauvais pied"

La candidature de Nicolas Sarkozy largement commentée jeudi matin. "Artificiel " pour Ségolène Royal, "fébrile" pour Marine le Pen, "candidature "négative" pour Laurent Fabius. Mais c'est Dominique de Villepin, le plus offensif "un président résigné"
Article rédigé par Valerie Kowal, Isabelle Gautier
France Télévisions
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 1 min
La revue de presse matinale des radios (FTV)

La candidature de Nicolas Sarkozy largement commentée jeudi matin. "Artificiel " pour Ségolène Royal, "fébrile" pour Marine le Pen, "candidature "négative" pour Laurent Fabius. Mais c'est Dominique de Villepin, le plus offensif "un président résigné"

Aux "4 V", sur France 2, Dominique de Villepin ne mâche pas ses mots à l'encontre du candidat Sarkozy "ce que nous avons vu hier, c'est un président résigné". "Il est parti du mauvais pied. Disons la vérité".

Pour Ségolène Royal, sur RTL, Nicolas Sarkozy " a essayé d'être le candidat de 2007" hier soir mais la présidente PS de la région Poitou-Charentes a trouvé Nicolas Sarkozy "artificiel (...) en contradiction avec son bilan".

Laurent Fabius invité de RMC Info juge la candidature de Nicolas sarkozy "négative", "comme il n' est lui même pas convaincu, il n'est pas très convainquant".

Sur France Info, Marine le Pen, la candidate du FN trouve "assez fébrile le président sortant. Il cherche à faire oublier son bilan, il n'est pas sûr de pouvoir y arriver, c'est déplorable dans tous les domaines (...) et c'est cruel comme résultat".

Sur I-télé, Pierre Moscovici, le directeur de campagne de François Hollande revient sur la métaphore de Nicolas Sarkozy qui se voit en "capitaine de bâteau". Pour lui, Nicolas Sarkozy "oublie que les Français sont le bâteau (...) et que ce bâteau a connu de sérieuses avaries".

Le président du groupe socialise à l'assemblée, Jean-Marc Ayrault, invité d'Europe 1, ironise sur le slogan de campagne de campagne de Nicolas Sarkozy "Une France forte". "ça rappelle le souvenir de Giscard avec le même slogan en 81".

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