Guerre entre Israël et le Hamas : les Israéliens font 100 minutes de grève pour les otages

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La guerre entre Israël et le Hamas a démarré il y a 100 jours. Alors que l’État hébreu continue ses bombardements meurtriers sur la bande de Gaza, des milliers d’Israéliens se sont réunis, le matin du dimanche 14 janvier, pour une grève de cent minutes, afin de marquer les cent jours de détention des otages. Des rassemblements de soutien ont eu lieu aussi en France.
Guerre entre Israël et le Hamas : les israéliens font 100 minutes de grève pour les otages La guerre entre Israël et le Hamas a démarré il y a 100 jours. Alors que l’État hébreu continue ses bombardements meurtriers sur la bande de Gaza, des milliers d’Israéliens se sont réunis, le matin du dimanche 14 janvier, pour une grève de cent minutes, afin de marquer les cent jours de détention des otages. Des rassemblements de soutien ont eu lieu aussi en France. (Franceinfo)
Article rédigé par franceinfo - M. Mulcey
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La guerre entre Israël et le Hamas a démarré il y a 100 jours. Alors que l’État hébreu continue ses bombardements meurtriers sur la bande de Gaza, des milliers d’Israéliens se sont réunis, le matin du dimanche 14 janvier, pour une grève de cent minutes, afin de marquer les cent jours de détention des otages. Des rassemblements de soutien ont eu lieu aussi en France.

Dans tout le pays, les boutiques israéliennes ont baissé leur rideau pour cent minutes de grève en soutien aux otages. Des centaines d’Israéliens dansent malgré la pluie, lors d’un événement animé par deux DJs qui ont participé au festival attaqué par le Hamas le 7 octobre. Ils réclament la libération des otages à Gaza, ils sont encore 132 à être détenus. "Nous n’avons reçu aucune nouvelle et personne ne les a vus en captivité, personne ne sait ce qu’ils sont devenus", témoigne un homme présent à l’événement. À Tel-Aviv (Israël), une réplique de tunnels dans lesquels les Israéliens a été créée pour représenter la captivité.

Des rassemblements en France

À Nice (Côte d’Azur), ils étaient 200 le matin du 14 janvier pour soutenir les otages. "Nous trouvons que, finalement, on n’en parle pas tant que ça des otages et nous trouvons qu’il est fondamental de montrer que nous ne les oublions pas", explique un manifestant. À Paris, tous les collectifs nés après le 7 octobre se sont réunis sur le champ de mars pour une course à pied partie à 11 h suivie d’un hommage pour les 41 victimes françaises et d’une course à vélo qui s’est élancée à 14 h. Trois Français sont toujours portés disparus.

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