Motion de censure : "Il fallait arrêter là", lance Thomas Ménagé, député RN du Loiret

Jusqu’à son arrivée à l’Assemblée nationale, lundi 2 décembre, Michel Barnier a tout tenté pour négocier avec Marine Le Pen. Mais à 15h40, il a déclenché le 49.3. "Nous n’avons pas censuré a priori le gouvernement. Jusqu'au dernier moment, on a donné sa chance au gouvernement. Il y a encore une ligne rouge : la désindexation des retraites. On ne peut pas appauvrir nos retraités. Il y a eu plusieurs lignes rouges. L’absence de hausse de l’électricité, l’absence de désindexation des retraites", a expliqué Thomas Ménagé, député RN du Loiret.

"Pas eu de réelle avancée ni de changement structurel"

"On est le premier groupe à l'Assemblée nationale. On ne peut pas nous donner des miettes. On avait dit : pas d'augmentation des charges pour les entreprises. Sur l'ensemble de ces sujets, malheureusement il n’y a pas eu de réelle avancée ni de changement structurel. Nous sommes dans la continuité du macronisme donc il fallait arrêter là", a-t-il ajouté.

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