Ces chansons qui font l'actu. Subjugante Chine...
Alors que le président Macron revient d'un voyage officiel en Chine populaire, revenons sur l'attirance que ce pays exerce sur nos artistes depuis longtemps. Et sur l'évolution raisonnable de cette fascination.
L’usine du monde continue de faire rêver. Alors, évidemment, nous n’en sommes plus aux naïvetés des Français dont la chanson était le symptôme il y a quelques dizaines d’années. Par exemple, nous n’avons plus aujourd’hui aucune sorte d’émerveillement béat devant la gastronomie asiatique, que l'on entend çà et là dans les années 60.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Arthur H, Le Paradis il est chinois, 2011
Jany L, Le Restaurant chinois, 1969
Michel Delpech, Le Restaurant chinois, 1966
Léo Ferré, Je chante pour passer le temps, 1959
Jacques Dutronc, Et moi et moi et moi, 1966
Nino Ferrer, Mao et moa, 1967
Renaud, Rouge sang, 2006
Johnny Hallyday, Tien an men, 1991
Ray Ventura & ses Collégiens, Les Trois Mandarins, 1936
Les Rita Mitsouko, Berceuse (version mandarin), 2007
Joyce Jonathan, Le Bonheur (version mandarin), 2016
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique sur Twitter.
En juillet et août dernier, nous avons passé Un été en Souchon, pendant lequel Alain Souchon nous a guidés dans une promenade savoureuse dans toute une vie d’amour de la chanson.
Tout l’été 2016, en compagnie de Vincent Delerm, nous avons baguenaudé dans La Playlist amoureuse de la chanson, exploration buissonnière du patrimoine populaire. Vous pouvez également prolonger les gourmandises de cette chronique d’été avec le Dictionnaire amoureux de la chanson française, coédité par Plon et franceinfo.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, franceinfo et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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