Édith Piaf et l'hommage ambigu de ses cadets
Édith Piaf a aujourd’hui 100 ans, puisque c’est le 19 décembre 1915 qu’a vu le jour Édith Giovanna Gassion, non pas sur le trottoir de la rue de Belleville, comme on le prétend encore souvent, mais assez simplement dans une chambre de l’hôpital Tenon, dans le XXe arrondissement de Paris.
100 ans, une popularité toujours énorme, une renommée unique dans le monde pour une artiste française, et puis une légende un peu ambiguë.
Parce qu’il y a quelque chose de curieux dans beaucoup de chansons à propos d’Édith Piaf, comme si, sous l’hommage, pointait une sorte de condescendance.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Claude Nougaro, Comme une Piaf , 1977
Léo Ferré, A une chanteuse morte, 1967
Serge Reggiani, Édith , 1972
Léo Ferré, A une chanteuse morte, 1967
Serge Reggiani, Édith , 1972
Claude Nougaro, La Chanson , 1962
Céline Dion, Piaf chanterait du rock , 1991
Pauline Julien, L'Homme à la moto , 1987
Florent Pagny, L'Homme à la moto , 2003
Brigitte Fontaine, L'Homme à la moto , 2003
Bernadette Soubirou et ses Apparitions, Non je ne regrette rien , 1992
Édith Piaf, Non je ne regrette rien, 1961
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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