Finalement, la chanson aime bien les Anglais
Le brouillard de Londres, les brumes de Londres, la nuit de Londres, les mystères de Londres... La chanson véhicule beaucoup de lieux communs sur l’Angleterre, sur la Grande-Bretagne tout entière et sur les Anglais. Alors que le suspense sur le Brexit est toujours vif, on se rend compte que notre musique populaire n’est pas particulièrement anglophobe.
Dans le premier épisode de cette chronique ce week-end, vous entendez des extraits de :
Théo Sarapo, Un dimanche à Londres , 1962
Georges Brassens, Ballade des dames du temps jadis , 1952
Les Joyeux Urbains, Si l'Angleterre n'était pas une île, 1998
Raoul de Godewarsveelde, Le Tunnel sous l'channel, 1973
Dominique Walter, Le Franglais, 1969
Mistinguett raconte ses souvenirs d'Angleterre, 1938
Zora, Parler anglais , 2002
Mary Roos, Je c'est I, tu c'est you , 1973
Robert Darthez, Allez donc en Angleterre (publicité pour les Chemins de fer du Nord), 1933
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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