La chanson pense que Paris, c'était mieux avant
Souhaitons bien du plaisir à Anne Hidalgo, la maire de Paris. Elle a dévoilé ces derniers jours les projets du programme Réinventer Paris , et on sait déjà quelle sera la réponse que l’on risque d’entendre le plus s’exprimer : avant c’était mieux...On n’y peut rien, d’ailleurs.
Depuis bien longtemps, la chanson exprime le regret et la nostalgie du Paris d’avant. Ce peut-être le Paris des titis ou de Michel Audiard, comme chez Thomas Dutronc en 2010, ou un Paris encore plus ancien sur un enregistrement d’Alibert en 1928.
Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
Henri Gougaud, Paris ma rose , 1964
Thomas Dutronc, J'aime plus Paris, 2007
Alibert, Mon Paris , 1928
Frères Jacques, Il ne reste plus que la Butte , 1969
Bernard Dimey, Le Quartier des Halles, 1967
Frères Jacques, Il ne reste plus que la Butte , 1969
Léo Ferré, Paris je ne t'aime plus , 1970
Claude Nougaro, Montparis , 1974
Juliette Gréco et Pierre Brasseu, Le Bestiaire de Paris , 1962
Mano Solo, Paris Boulevards, 1995
Oh La la, Paris ne t'aime pas , 2008
Benoît Dorémus, Paris, 2010
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Pour les professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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