La France à l'Eurovision, une longue histoire
Une nouvelle fois, on se demande si enfin la France retrouvera la victoire au concours Eurovision de la chanson. Ce qui nous invite à nous demander pourquoi et comment nous avons si souvent gagné cette compétition.
Dans cette chronique, vous entendez des extraits de :
Te Deum de Marc-Antoine Charpentier par le National Philharmonic Orchestra (1989)
Dors mon amour par André Claveau (1958)
Tom Pilibi par Jacqueline Boyer (1960)
Un premier amour par Isabelle Aubret (1962)
Un jour un enfant par Frida Boccara (1969)
L’Oiseau et l’Enfant par Marie Myriam (1977)
Le dernier qui a parlé par Amina (1991)
Poupée de cire, poupée de son, par France Gall (1965)
Boum badaboum par Minouche Barelli (1967)
Comme un boomerang par Serge Gainsbourg (1974)
White and Black Blues par Joëlle Ursull (1990)
Running Scared par Ell & Nikki (2011)
Euphoria par Loreen (2012)
Rise Like A Phoenix par Conchita Wurst (2014)
N’oubliez pas par Lisa Angell (2015)
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez aussi retrouver sur le site de France Info les quarante-neuf épisodes de notre série d’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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