Les chanteurs contre les banquiers
Si l’on travaille à la communication d’une grande banque, on aime s’insurger auprès des actionnaires de la violence avec laquelle notre culture populaire traite ce secteur. Car vous connaissez cette chanson de Bernard Lavilliers : il nous donne des nouvelles de la guerre, de la banque et de la mort.
Et on peut comprendre que les banquiers n’aiment pas qu’on les range sur la même étagère que la guerre et la mort. Il reste que les soupçons d’une fraude fiscale massive de cinq banques françaises risquent de ne pas renforcer dans le public l’idée que les banquiers sont honnêtes. Et quelques chansons nous racontent déjà bien des choses sur les banques et les banquiers.
Dans l'épisode de Ces chansons qui font l’actu diffusé ce dimanche, vous entendez des extraits de :
Bernard Lavilliers, Faits divers, 1991
Pérignon, Le Banquier et l'Entrepreneur, 2010
Michel Fugain, C'est tout comme, 2004
Sexion d'Assaut, A cœur ouvert, 2012
Henri Salvador, Pense Henri, 1989
Eddy Mitchell, Faut pas avoir le blues, 1980
Michel Sardou, Les Villes de solitude, 1973
Alpha Wann, Cascade Remix, 2018
Michel Buhler, Tribulations d'un chanteur en Suisse, 1997
Guizmo, J'sais qu't'as mal!, 2017
Michel Buhler, Tribulations d'un chanteur en Suisse, 1997
Gina & l'Orchestre, Monsieur le banquier, 1993
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Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast Derrière nos voix, avec les secrets d'écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.
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