Un hymne à la Piaf
Édith Piaf aurait eu 100 ans hier, le 19 décembre. Cela nous rappelle d’autant plus brutalement, d’ailleurs, qu’elle a disparu à l’âge de 47 ans, usée par l’excès de médicaments et d’alcool et – si l’on veut être romantique – usée par l’excès de passion.
On n’ose imaginer la trace qu’elle aurait laissée si elle avait vécu plus longtemps.
Édith piaf aurait eu 100 ans et il faut bien admettre qu’on ne se passionne pas seulement pour sa voix immense et pour sa puissance phénoménale d’interprète. Il reste une œuvre, une œuvre qui est parfois occultée derrière l’aura de la chanteuse. Mais les confrères et les cadets ne s’y trompent pas. Ils chantent souvent Piaf l’auteur.
Dans le second épisode de cette chronique diffusé ce week-end, vous entendez des extraits de :
My Brightest Diamond, L'Hymne à l'amour , 2008
Julien Clerc, L'Hymne à l'amour , 1994
Les Stentors, L'Hymne à l'amour, 2013
Yvette Giraud, L'Hymne à l'amour , 2009
Richard Galliano et Sylvain Luc, L'Hymne à l'amour , 2015
Édith Piaf, L'Hymne à l'amour, 1950
Milva, L'Hymne à l'amour , 1970
Paul Anka , L'Hymne à l'amour , 1962
Édith Piaf, L'Hymne à l'amour, 1950
Vous pouvez également suivre l'actualité de cette chronique
Vous pouvez retrouver sur le site de France Info les quarante-deux épisodes de notre série de l’été dernier, consacrée à des rumeurs, on-dit et fausses réputations, Ça sonne faux.
Vous pouvez aussi retrouver les quarante-neuf épisodes de notre série de l’été consacrée à la chanson pendant la Première Guerre mondiale, La Fleur au fusil.
Et vous pouvez aussi vous procurer le livre accompagnant cette série, lui aussi intitulé La Fleur au fusil.
Professeurs, lycéens et collégiens, France Info et l’Éducation nationale ont créé ensemble un site où vous pouvez trouver une centaine de chroniques sur des chansons chargées d’histoire, Ces chansons qui font l'histoire.
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