En Syrie, le dictateur réprime la révolution dans le sang
Depuis un mois, les combats se concentraient autour et dans la ville de Homs, située tout près de la frontière avec la Libye, où la plupart des opposants au dictateur Bachar al-Assad s'étaient rassemblés.
Après un mois de bombardements incessants, l'opposition armée a abandonné ses positions, elle n'avait plus la force de lutter.
C'est également à Homs que plusieurs journalistes ont été tués ou blessés.
Selon les Nations unies, la répression sanglante de la révolution a fait au moins 7.500 morts. Peut-être même beaucoup plus.
Et face à ce massacre, la communauté internationale n'arrive pas à parler d'une seule voix : les pays qui réclament le départ du dictateur syrien se heurtent à la Russie et à la Chine notamment, des amis de la Syrie, qui continuent de soutenir le régime de Damas.
Etienne Monin est grand reporter à France Info. Il était en Syrie il y a encore quelques semaines.
Etienne répond aux questions des abonnés à Mon Quotidien , le quotidien des 10-13 ans. Au micro cette semaine : Marie (11 ans, de Lille), Marion (11 ans, du Vésinet), Brahim (12 ans, de Maubeuge), Daniel (9 ans, de Paris) et Adrien (11 ans, de Lagny-sur-Marne).
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