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La viande de cheval, l'euthanasie et le cumul des mandats

Ce vendredi matin les politiques parlent de Paris, des élections à venir et de circulation automobile d'euthanasie et de viande de cheval.
Article rédigé par Olivier Bost
Radio France
Publié Mis à jour
Temps de lecture : 2min
Franceinfo (Franceinfo)

Guillaume Garot, le ministre délégué à l'agroalimentaire l'a assuré ce vendredi sur France Info : pour ceux qui voulaient faire passer du cheval pour du bœuf, il y aura des sanctions.

L'ancien ministre de l'agriculture, l'UMP
Bruno Lemaire propose lui un remède de cheval avec deux impératifs : plus de traçabilité et des étiquettes avec plus d'infos.

Le gouvernement a promis une loi sur la fin de vie. Ce qui fait intervenir et réagir Jean-Luc Roméro, le président de l'Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité et conseiller régional d'Ile-de-France, apparenté socialiste. Il
réagit à l'avis de l'Ordre des  médecins qui s'est dit favorable à une évolution de la législation.

A retenir aussi, l'interview de Manuel Valls dans le Parisien /Aujourd'hui en France.
Le ministre de l'intérieur y parle notamment de la fin du cumul des mandats. Pour lui, l'engagement de François Hollande sera tenu, mais pour fin 2016 début
2017.

Pour 2014, estime Manuel Valls, ce serait très difficile car cela
provoquerait la démission de plusieurs dizaines de députés pour garder leur
siège de maire. Ce serait une mini-dissolution. Ce serait une faute dit Manuel
Valls. Autrement dit une mini-dissolution,  ce serait un risque politique majeur. Imaginez
le retour de la cohabitation.

A propos de Paris,  Manuel Valls
recommande à la municipalité parisienne de ne pas oublier les banlieusards
quand elle restreint la circulation automobile. Le ministre de l'intérieur
rejoint l'avis de la droite parisienne sur la fermeture des voies sur berges, 
ces autoroutes urbaines le long de la Seine.

Et il est également en phase avec
la ministre de l'écologie Delphine Batho. Elle était sur Canal+ ce matin. A droite, le jeu pour les municipales de l'année
prochaine s'est éclairci. Ni Jean-Louis Borloo, ni François Fillon ne seront
candidats et Nathalie Kosciusko-Morizet est, elle, engagée dans la primaire. Une
bonne nouvelle pour Bruno Lemaire.

 

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